La pluie tambourinait sur le vitrage de la librairie quand elle l’aperçut. Son regard s’accrocha aux muscles tendus de ses avant-bras, visibles sous sa chemise blanche ouverte au col. Il triait des livres entre les étagères, et chaque mouvement révélait son dos tatoué d’une vague bleue. Ses seins lourds se pressaient contre le pull-over en cachemire, ses talons aiguilles lui imprimaient des courbures familières dans la jupe plissée. Quand il se retourna, elle nota le menton pointu et les dents blanches, un sourire qui ne dissimulait pas son désir quand leurs regards se croisèrent.

Il lui offrit un café au comptoir voisin. La tasse chaude contre ses doigts, la morsure du sucre froid sur sa langue tandis qu’il parlait de courses à pieds et de protéines en poudre. Ses cheveux châtains tombaient sur son front, ses joues sentaient l’eau de toilette citronnée. Elle se pencha vers lui, respirant la sueur salée de sa nuque quand il rit pour une blague sans queue ni tête. Son sexe dur et gonflé se pressait contre le tissu des jeans, elle le voyait dans ses yeux plissés.

La sirène de l’ascenseur retentit soudain, brisant la tension quand il proposa un verre après son cours. Ses mains glissèrent vers sa hanche pour dégager une étagère renversée, touchant le tissu du pull-over et frôlant ses seins. « Je monte », dit-elle en souriant. Les escaliers sentaient l’encaustique et le cuir des livres abandonnés. Ses talons résonnaient comme un battement de cœur, ses fesses se cambrèrent quand il la prit par les hanches pour ajuster son équilibre.

Son appartement exsangue sentait l’air climatisé et le citron frais. Elle se retrouva allongée sur un canapé gris, ses cuisses ouvertes exposant sa chatte rasée. Ses seins gémirent sous son pull-over arraché quand il s’accroupit pour lécher sa fente. Son sexe dur heurta ses lèvres, et il gémit en la sentant se tortiller contre lui. « Avale-moi », ordonna-t-il tandis qu’elle engloutissait son sexe dans sa bouche.

Elle le masturba à pleines paumes pendant que ses dents s’enfonçaient dans son clitoris. Il la releva pour l’embrasser, déchirant son soutien-gorge avec une boucle de ceinture. Ses seins se balancèrent quand il la poussa à genoux, lui forçant à se masturber avec sa propre main tremblante. « Plus vite », rugit-il en regardant sa chatte. Il la souleva pour l’installer à quatre pattes sur le tapis de course.

La glissière des jeans claqua comme un fouet quand il s’enfonça en elle, ses doigts écartant ses fesses pour toucher son cul et sa chatte simultanément. Elle se cambra dans l’air frais, sentant son sperme gicler sur ses seins avant qu’il ne se retire pour lui lécher les plis de son cul. « Ouvre-toi », murmura-t-il en introduisant un doigt dans son anus.

Ses cris résonnèrent contre les murs pendant que le coach la pénétrait avec sa bouche, ses dents labourant son clitoris tandis qu’il lui défonçait l’anus de sa main. Elle se mordit pour ne pas gémir trop fort quand il s’allongea derrière elle, introduisant à nouveau son sexe dur dans son cul en même temps que deux doigts dans sa chatte.

« Plus vite », supplia-t-elle alors qu’il la dominait comme un animal. Ses seins tressautaient sous le rythme violent quand il lui arracha ses bas résille pour les avaler, suçant son sexe gonflé avec une bouche qui n’en finissait pas de se vider. Elle regardait son cul et son sexe dur s’agiter en elle jusqu’à ce qu’il hurle son orgasme en éjaculant dans sa bouche.

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