La chaleur du four à bois enveloppait l’atmosphère, les odeurs de levain et de fumée se mêlant au parfum subtil de vanille. La femme observa son reflet dans la glace des fours, ses seins ronds, gonflés sous le t-shirt ajusté, sa chevelure brûlée par un soleil imaginaire. Derrière elle, les mains du pizzaiolo s’insinuèrent à travers l’étoffe, effleurant son ventre plat avant de se perdre dans ses replis secrets. Leurs respirations se synchronisèrent, le silence entre eux vibrant comme la note finale d’une symphonie.

Ses doigts agiles parcouraient sa hanche, taillée pour porter des robes sans bretelles et des talons hauts qui affolaient les regards. « Tu as une chatte rasée ? murmura-t-il, la voix rauque de désir. Elle se pencha vers son oreille, le souffle parsemant ses lèvres d’humidité. « Oui. » Une simple syllabe qui résonna dans la cuisine plongée dans une semi-obscurité, où les flammes dansantes projetaient des ombres suggestives sur leur étreinte. Ses seins se pressèrent contre son torse, le tissu de leur chemise disparaissant, les pointes roses dressées sous ses ongles.

La tension grandit, le temps s’arrêtant au rythme de leurs respirations entrecoupées par des rires complices. La femme attrapa son sexe dur et gonflé entre ses doigts gourmands, l’enfouissant dans sa bouche avec une voracité inattendue. « Tu vas me faire jouir… » Ses mots se perdirent tandis qu’elle le suçait, un murmure de plaisir qui s’échappait au creux des plis humides de ses lèvres pulpeuses.

Le pizzaiolo la souleva brusquement jusqu’à ce que leurs bassins se frottent à l’horizontal, son érection perçant les tissus. « Montre-moi ta chatte… » Il l’enlaça par derrière pour qu’elle se penche sur le comptoir de marbre frais, ses cuisses écartées révélant une toison absente et un sexe frémissant.

Il lui écarta les fesses avec brutalité pour introduire deux doigts dans son cul serré, la pénétrant d’un mouvement sec qui arracha à l’inconnue un gémissement rauque. « Oh Dieu… » Ses ongles griffèrent le plan de travail alors que des gouttes de sueur coulaient sur sa nuque et ses épaules galbées.

« Maintenant… supplia-t-elle, l’étreinte se transformant en une lutte pour l’empire des sens. Son sexe dur comme le bois calciné s’enfonça dans son cul serré tandis que sa bouche aspirait la chatte à vif, écartelée sous ses doigts et ses lèvres voraces. La tension entre eux devint électrique, leurs cris résonnant au rythme des coups de reins.

Le four à bois crépitait derrière eux comme un orgueilleux témoin silencieux, les flammes dansant sur la courbe de ses seins et le galbe de son cul. « Regarde-moi… » dit-il d’une voix rauque, plongeant son regard dans le sien alors qu’il se retirait pour reprendre son élan.

« Je vais te baiser jusqu’à ce que tu crie mon nom », grogna-t-il. Sa bouche emprisonna la sienne tandis que ses doigts pénétraient à nouveau le cul de la femme, les pressions et les mouvements se synchronisant au rythme d’une danse érotique.

Leur sexe fusionnait dans un crescendo d’orgasmes multiples qui les faisaient trembler comme des feuilles sous l’orage. Le four à bois continuait de rugir, une symphonie de chaleur et de passion, tandis que la femme de son ami jouissait à nouveau, son corps se déversant en ondes successives de plaisir.

Les cris s’éteignirent peu à peu dans l’air saturé d’amertume. « Encore », murmura-t-elle, et il obtempéra avec une puissance renouvelée. Les coups de reins se firent plus violents encore jusqu’à ce qu’une double pénétration explosive les secoue tous deux.

Elle se replia sur ses genoux tremblants, son regard empli d’une lueur d’insatisfaction et de désir renouvelé. « Encore », répéta-t-elle dans un souffle. Et le four à bois rugit une nouvelle fois, éclatant en une explosion de flammes tandis que leurs sexes se pressaient de nouveau avec frénésie.

La fin est là, mais l’envie persiste comme une flamme qui refuse de s’éteindre…

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