Le souffle de la scène enveloppa Élise tandis qu’elle observait l’étudiante se pencher pour récupérer son programme tombé par terre. Ses ongles vernis, un rose pastel, glissèrent sur le carrelage froid avant que leurs doigts ne s’entrecrochent accidentellement. L’air vibra d’une tension qui les dépassait : elle, la quarantaine pulpeuse avec ses seins généreux et son chemisier de soie aux manches bouffantes ; lui, un jeune étudiant au regard perçant, ses cheveux bruns ébouriffés par l’excitation du texte qu’il répétait. Les murmures des spectateurs se muèrent en respirations haletantes quand leurs mains, une seconde, s’attardèrent sur le papier froissé.

« Je m’appelle Lucas », articula-t-il doucement alors que son pouce traçait une ligne tremblante sous la clavicule d’Élise. Elle frissonna sans comprendre pourquoi ce timbre grave, entre innocence et gravité, avait fait durcir ses tétons contre le tissu. Leur échange se prolongea dans les couloirs vides du théâtre, leurs voix mêlées à des rires étouffés et des soupirs que la lumière tamisée transformait en échos sensuels. Les doigts de l’étudiant effleurèrent son dos avec une délicatesse qui la fit frissonner : elle sentit alors ses grosses fesses se tendre contre le jean, comme s’il voulait se coller à lui pour dissiper un désir plus fort que leur retenue.

La nuit les conduisit vers des ruelles isolées où la conversation bascula. Les mots firent place aux ondulations de son corps sous ses doigts, aux gémissements étouffés quand il plongea un index dans sa chatte rasée. « Tu as une voix… », murmura-t-elle alors qu’il l’entraînait vers un coin sombre où la chaleur se répandit entre ses cuisses. Il y eut des grognements, des râles et le cliquetis de fermetures éclatantes qui glissèrent vers le sol, tandis que son sexe dur et gonflé s’écrasait contre sa fente brûlante.

Lorsqu’il plongea en elle à quatre pattes, Élise ne put réprimer un cri. Ses doigts enserrèrent les draps tandis qu’il lui ouvrait le cul de ses mains calleuses, explorant son anus avec une précision qui la fit trembler entre des cris et des halètements. « Fais-moi… », supplia-t-elle sans savoir quoi exactement, jusqu’à ce que sa bouche se referme sur son sexe dur et qu’il l’engloutisse à fond dans sa gorge chaude. Elle gémit quand il mordilla sa chatte en même temps, ses dents taquinant son clitoris avec une ardeur qui lui arracha un hoquet de plaisir.

Les gémissements se firent plus intenses lorsque l’étudiant commença à la baiser anal tout en suçant ses seins généreux. « Oh oui… », gémit-elle, sentant son sexe s’enfoncer profondément dans sa chatte tandis qu’il lui caressait le cul avec une main experte. Lorsqu’elle se mit à gémir plus fort encore, il éclata en un râle bref et puissant, déversant son sperme sur ses seins pour que son visage, enserré dans la chaleur de sa chatte ouverte, l’aspire à fond en une longue fellation passionnée.

Après, quand ils se retrouvèrent allongés dans le noir, leur souffle mêlé aux échos d’un orgasme partagé, Élise réalisa que les mots de Lucas n’étaient plus des rires mais des balbutiements. « Tu as… », murmura-t-il en lui caressant la chatte humide et luisante avant de la pénétrer à nouveau avec un doigt dans son cul et un autre dans sa chatte, ses coups de reins les propulsant vers un plaisir déchiré entre le désir et la peur.

« Maintenant », dit-il alors qu’il se colla à elle, leurs sexes se frottant l’un contre l’autre avec une ardeur qui les enflamma tout entiers. Il se plongea à fond dans son trou de chatte, ses mains glissant vers sa chatte pour la caresser pendant que ses doigts dans son cul s’insinuaient plus profondément encore. « Plus fort », haleta-t-elle, le suppliant avec des gémissements et des cris brefs en même temps.

Leur danse se fit plus rythmée jusqu’à ce qu’un cri éclate entre eux : il la pénétra à nouveau avec son sexe dur et gonflé pendant que sa bouche aspirait son clitoris, tandis qu’il plongeait un doigt dans son cul. « Regarde-moi… », supplia-t-il alors qu’elle se cambrait sous ses attaques, gémissant de plus en plus fort, son corps parcouru par des décharges électriques qui firent exploser sa chatte humide et chaude.

Leurs cris retentirent dans le silence de la chambre quand il éclata à nouveau, son sperme jaillissant dans sa bouche. Elle aspira tout avec une avidité frénétique, avalant chaque goutte jusqu’à ce qu’il s’effondre sur elle, leurs respirations mêlées et leurs corps en sueur collés par l’orgasme. La tension qui les avait tenus tant de temps se dissipa lentement dans le silence, laissant place à un étrange sentiment d’émerveillement.