La lumière tamisée de la terrasse illuminait le visage de Margaux, divorcée depuis deux ans et lasse des nuits sans désir. Ses seins volumineux se pressaient contre son chemisier en soie, leurs courbes généreuses à peine contenues par un tissu diaphane. Un Belge aux yeux sombres, Mathias, s’approcha avec une grâce nonchalante, ses lèvres effleurant son cou pour murmurer: « Tu sens bon… ». La tension monta lentement alors qu’il glissa ses doigts entre sa chevelure bouclée et son dos nu, ses ongles caressant la peau satinée. Les battements de leur cœur se synchronisèrent dans l’air tiède.

Il l’amena chez lui, un loft spacieux où des échos d’une soirée débordaient par la fenêtre ouverte. Ses mains trouvèrent le bouton de sa culotte, le tirant doucement vers le bas pour révéler une chatte rasée et humide. « Tu aimes les plaisirs simples ? » chuchota-t-il en y insinuant un doigt, explorant ses replis secrets avec une précision cruelle. Margaux gémit tandis qu’il suçait son clitoris à travers le tissu de sa culotte, ses lèvres pressées contre ses fesses fermes et musclées.

Elle s’agenouilla pour lui présenter un sexe dur et gonflé, son visage levant vers lui. « J’aime mieux les plaisirs complets », répondit-elle avant de l’envelopper avec sa bouche chaude, faisant naître en lui une frénésie silencieuse. Il grogna quand ses joues se vidèrent soudain pour laisser place à des coups de gorge voraces. La salive et son sperme se mélangeaient au parfum d’une envie partagée, tandis que Margaux avalait chaque goutte sans retenue.

La chambre devint un théâtre de rugissements étouffés. Il la retourna à quatre pattes, sa main gauche écartant ses fesses pour atteindre son anus avec un doigt qui glissa sans effort dans son cul serré. Margaux se cambra, des cris rauques s’échappant de sa gorge pendant qu’il suçait et léchait son sexe brûlant. Le contact rugueux d’une langue sur son clitoris la fit frissonner de plaisir quand il passa à une fellation acharnée, ses dents taillant des entailles invisibles dans sa chair.

« Vas-y… plus fort ! », supplia-t-elle, son cul offert et tremblant sous le rythme impitoyable. Ses seins rebondissaient à chaque mouvement de hanches quand il la pénétra brusquement depuis derrière, ses mains écartant ses fesses pour regarder son cul se remplir. Le sexe d’un ami invisible frappait sa chatte pendant que le Belge s’enfonçait plus loin dans son rectum, un rythme syncopé entre les deux corps enivrés.

Margaux hurla quand il la retourna à nouveau pour l’embrasser langoureusement, leurs dents et langues se mêlant tandis qu’il pressait ses seins volumineux. Ses doigts trouvèrent le clitoris de Margaux, le massant avec une maestria qui la propulsa vers un premier orgasme, suivi de plusieurs autres. « Tu es incroyable… », murmura-t-il entre deux baisers, son sexe dur et gonflé palpitant contre sa hanche.

La tension monta à nouveau comme il se pencha pour lécher son cul et son anus, son souffle chaud chatouillant l’entrée de Margaux. « Tu veux que j’y retourne ? », demanda-t-il avec un sourire malicieux alors qu’il introduisait un doigt dans son cul une fois de plus. Elle répondit par un grognement animal, ses ongles griffant les draps tandis que le Belge se repenetrerait en elle, son sexe glissant entre ses fesses et sa chatte pour la posséder entièrement.

La chambre résonnait à présent d’une cacophonie de cris et de gémissements. Margaux serra les cuisses autour du membre de Mathias quand il se retira, son sperme jaillissant sur ses seins et son visage. « Tu aimes ma chatte… », murmura-t-elle avant d’engloutir son sexe une nouvelle fois dans sa bouche gourmande. Ils s’écroulèrent enfin, leurs corps trempés et pantelants, le silence rempli de respirations entrecoupées et du grattement d’un lit grinçant.

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