Assise près de la fenêtre du refuge montagnard, Laurence observait les premières étoiles naître dans le ciel d’été. Ses longues jambes croisées soulignaient ses cuisses musclées tandis qu’elle se suçait le pouce avec lenteur, savourant la chaleur de son propre désir. Ses seins généreux, fermes sous sa chemise de coton, semblaient palpiter comme deux coeurs indépendants. Un guide aux yeux sombres et à l’accent rauque s’était approché d’elle sans un mot, offrant une tisane à la menthe qui n’avait fait que réveiller son appétit. Elle souriait, jouant avec ses cheveux pour les dévoiler davantage.

La tension entre eux grandissait silencieusement. L’air humide et odorant de pin imprégnait chaque geste calculé : un doigt effleurant sa nuque, son regard plongeant dans le sien avec une intensité qui lui coupait le souffle. Laurence se pencha vers lui, les lèvres entrouvertes, et murmura qu’elle voulait le sentir « engloutir son sexe » avant de laisser son haleine frôler sa bouche.

Il s’agenouilla devant elle, laissant tomber à terre son pantalon de guide. Son érection tendue, d’un rouge sombre, se dressait comme une promesse. Laurence attrapa son sexe dur et gonflé entre ses paumes avant de l’envelopper complètement en le suçant avec force. Ses gémissements s’échappaient en glouglous humides, ses joues massant son gland alors qu’elle avalait chaque centimètre de sa chair. Le guide gémit, le dos cambré, et ses mains agrippèrent ses épaules pour la forcer à accélérer.

Elle recula soudainement pour l’exciter davantage, se penchant vers lui en balançant son bassin comme un métronome. Sa chatte rasée brillait de sueur et d’étreintes antérieures ; Laurence se caressa le clitoris avec sa main libre, observant son propre sexe dans ses doigts pour mieux évaluer l’effet qu’elle produisait sur lui. « Donne-moi ta semence », chuchota-t-elle entre deux suçades, les yeux pétillants de défis.

Il la releva avec violence et la jeta à quatre pattes sur un tapis usé. Ses fesses écartées par ses mains calleuses, Laurence sentit un doigt s’enfoncer dans son cul serré avant que le guide ne le recouvre d’un glissant lubrifiant. Un autre doigt suivit, et puis trois. « Tu as une chatte si douce », murmura-t-il en pressant ses paumes contre sa vulve humide. Laurence se cambra, offrant son postérieur avec un plaisir exaspéré.

Ses cris de jouissance résonnèrent dans le refuge tandis que le guide la pénétra d’un coup de rein brutal, son sexe engloutissant tout l’espace disponible. « Encore ! » cria-t-elle en se cambrant pour lui offrir une meilleure prise sur ses seins qui rebondissaient sous ses coups. Ses jambes tremblantes et sa chatte écartelée par la double pénétration, Laurence serra les dents jusqu’à ce qu’un premier orgasme secoue son ventre.

Il se retira pour l’inciter à se tourner vers lui une nouvelle fois. « Maintenant », souffla-t-il en reculant ses cheveux humides de sueur, avant de la pénétrer de nouveau mais cette fois par sa chatte brûlante. Laurence gémit quand il accéléra le rythme, son bassin se levant pour l’accueillir avec une avidité frénétique. Elle sentit son sperme exploser en elle, et s’empressa de l’engloutir à nouveau, avalant jusqu’à la dernière goutte.

Après, il observa son postérieur écarlate, ses fesses nues brillantes de leur séance. « Tu as un cul parfait », murmura-t-il en glissant un doigt dans son anus encore dilaté. Laurence rit entre deux halètements et le renversa à nouveau pour lui présenter sa chatte gorgée d’excitation. « Maintenant, c’est ton tour de me baiser comme une milf », déclara-t-elle en écartant ses lèvres pour laisser son clitoris se pointer vers les étoiles.

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